saison 5 diffusion M6

Ennfin!! espérons qu'ils diffuseront toute la saison d'un seul coup!!

Aller zouuuuu je ressors le sujet pour ce qui en la flemme d'aller le chercher!!!! Bon épisode…!

JE SUIS PRESSEE de voir Big brother parce que les moment de drague (blog, sous couverture) Ca mérite d'etre surveillé. après les calins il va falloir qu'on fasse quelque chose lol et remplacer son futur rencart

Je viens de voir les audiences, et franchement, une fois de plus, m6 c'est un peu moquer du monde! Ils n'ont pas fait beaucoup de promo,(que se soit dans les magasines ou à la tv), et sa se ressent sur les audiences. Je trouve sa dommage, parce-que les épisodes étaient géniaux!

S'aventurer dans le passé de Callen a souvent été une solution judicieuse utilisée par "NCIS LA" pour produire de solides épisodes. C'est donc avec ce filon que la série aborde celui-ci, alors qu'un message évoquant le père de G. est écrit avec du sang sur une scène de crime. La mise en bouche est globalement efficace, mais le développement manque par moments d'une certaine vitesse de croisière, bien que quelques scènes d'action (notamment l'une vers la fin de l'épisode) permettent de ne pas décrocher et de garder un bon rythme.

Sur le plan scénaristique, la série ne s'encombre pas trop d'artifices et reste classique (un peu trop à mon goût), avec un petit twist final pas des plus recherchés mais néanmoins intéressant, car il offre une porte de sortie et un probable retour de la quête de Callen à l'avenir. On peut en revanche regretter un léger déficit de crédibilité (ou un léger grain de folie des scénaristes) lorsqu'il s'agit de nous faire passer Comescu pour le parrain des années 2010.

De son côté, Callen décide de faire cavalier seul en apprenant que son père est tout proche, avant d'être rejoint par l'équipe, recomposée entre autres par un Granger qui s'amuse sur le terrain aux côtés de Sam. Là encore, "NCIS LA" use d'une facilité un peu grotesque pour conserver Granger dans ses rangs, mais quelques répliques font mouche et donnent la petite note d'humour qui se fait discrète. On peut également saluer la scène finale, assez émouvante, dans laquelle Chris O'Donnell fait passer des choses qu'il n'a pas l'habitude d'interpréter.

En bref : Un sympathique épisode, qui place Callen au centre du jeu.
Note : 6.5/10

Au bout de 5 années d'existence, une série se doit de faire preuve de stabilité pour ne pas perdre complètement ses fans, mais également d'audace afin de tomber dans une routine gênante pour ne pas dire horripilante. Malheureusement, les scénaristes de "NCIS Los Angeles" n'ont pas tout à fait enregistré cela, et lorsque les personnages principaux ne sont pas à l'honneur (comme dans l'opus précédent), la série part en vrille et nous concocte quelque chose de particulièrement chiant.

Cette semaine, l'équipe enquête sur l'enlèvement de la petite amie d'un ancien marine. S'en suit alors une vaste histoire de vente de données confidentielles à d'autres pays du globe, entre autres. Le scénario n'est pas du tout honteux, mais il est d'une platitude assez détestable, ne réservant aucune surprise et faisant office de berceuse pour le téléspectateur, sans compter que l'originalité est une nouvelle fois une donnée absente de l'équation.

Il faut alors se tourner vers la trame humoristique pour trouver quelques moments funs, comme tous ces sosies d'Eric qui travaillent avec Nell (très con mais assez drôle), ou vers les rares passages rythmés de l'épisode pour avoir quelque chose à se mettre sous la dent. Du côté des personnages, là encore, "Règle tacite" n'a rien de transcendant, et ce ne sont pas les rares répliques de Deeks sur sa nouvelle moto qui suffisent à développer quelque chose d'intéressant et de consistant...

En bref : Lorsque "NCIS LA" revient à sa cuisine traditionnelle, le tout devient difficilement digeste.
Note : 3/10

Régle tacite n'est pas "l'épisode" de la saison c'est sûr, je le classerais même dans les éisode "tampon" mais y'a 24 épisode dans une saison et les 24 ne peuvents pas etre au top! surtout que les gouts  des un, ne sont pas forcément ceux des autres!

mais ça reste un épsiode "diversifiant" j'ai eu plaisir à le voir...

Comme d'habitude, on n'a pas vu le même épisode... Parce que moi d'abord j'y ai appris des choses (un engagé de la Navy peut rompre son contrat si économiquement il apporte quelque chose au pays - et que le plus gros risque post-traumatique est la conduite à risques) et parce que l'histoire réservait son lot de surprises - si le type n'avait pas "infecté" ses données, elles auraient  bel et bien été dans des mains étrangères quand ils ont eu leurs premiers soupçons...

Le vrai retour au travail de Deeks s'inscrivait bien dans la continuité - y compris avec  Kensi qui préfère intervenir plutôt que regretter, au cas-où, quand il manque passer sous les roues du van.

Quand au 5x04, on ne parle pas d'un Comescu mais d'une immense famille - qui depuis la guerre a toujours trafiqué. Leur réseau s'est développé sur 70 ans, il n'a pas surgi de terre dans les années 2000. Donc oui, des contacts partout, c'est une évidence. On parle d'une famille qui a des contacts partout, pas d'une famille qui règne sur le crime mondiale.

Enfin, je ne vois pas en quoi c'est une "facilité" de mettre Granger sur le terrain, dans la mesure où ils voulaient écarter Callen de l'enquête. Parce que l'inscription sur le mur prouvait que les ravisseurs connaissaient son nom alors qu'il vit en permanence sous un pseudo. C'était donc une affaire qui s'annonçait sérieuse - un coup de main d'un bon agent était dans la logique des choses.

Après le retour prématuré complètement grotesque de Deeks, il fallait bien redonner au personnage son rôle habituel du comique de service. C'est chose faite dans "Big Brother", puisque le héros campé par Eric Christian Olsen fait le spectacle, qu'il s'agisse de son tapis de course, de ses envies pressantes et autres gags du genre. Evidemment, les scénaristes ne se sont pas foulés pour trouver ce genre d'idées, mais il faut reconnaître que l'ensemble fonctionne plutôt très bien, et donne un certain rythme de croisière à l'épisode.

Du côté des personnages, la série n'apporte cependant pas vraiment d'évolutions intéressantes ici, excepté peut-être grâce à cette petite conversation entre Sam et G. qui nous apprend quelques petits éléments sur la vie privée de ce dernier. Je reste malgré tout assez frustré de ne pas voir "NCIS LA" aller davantage sur le terrain de la vie privée de ses héros. D'autant plus qu'ailleurs, ce n'est pas la folie, loin de là.

"Big Brother" développe en effet une intrigue pas des plus passionnantes, en dépit d'une idée de base réfléchie autour d'une cyber-attaque dont auraient été victime FBI et CIA. Cela étant, l'histoire est vue et revue (la possibilité d'une taupe a été explorée maintes et maintes fois dans "NCIS", les attaques des agences fédérales également), et la série ne se démarque pas suffisamment pour offrir quelque chose de surprenant et d'efficace. Dommage.

En bref : Classique et divertissant.
Note : 5/10

Durant une bonne partie de cet épisode, une question m'a occupé l'esprit : a-t-on déjà vu une enquête dans une série policière centrée sur le monde ferroviaire ? Si oui, cela n'a pas du arriver souvent. Alors que je reprochais à l'épisode précédent de surfer sur une thématique déjà surexploitée, "NCIS Los Angeles" fait ici le chemin inverse et propose quelque chose de tout à fait inhabituel, et le moins que l'on puisse dire, c'est que c'est vraiment réussi. L'équipe du NCIS s'infiltre donc dans le milieu ferroviaire après le meurtre d'un agent de sécurité.

La partie sous couverture avec Kensi et Deeks se charge de la dimension humoristique de l'épisode, avec quelques répliques peu inspirées mais d'autres bien plus piquantes et efficaces. Comme d'habitude, "NCIS Los Angeles" ne fait pas dans la finesse, mais la légèreté qu'elle met en place est parfaite pour le grand public, il faut le reconnaître. Le fait que les personnages soient toujours aussi plats me désole, mais on est obligés de s'y faire.

Par ailleurs, toute la partie finale est menée tambour battant, avec un très long passage bourré d'action qui mène Sam jusque sur les rails, devant un train en pleine circulation. Le suspense est vain, mais le rythme est travaillé et redoutable. L'histoire pâtit cependant d'un développement dramatique assez restreint, en particulier en raison des performances peu convaincantes de l'actrice jouant la maman déboussolée. L'épisode aurait gagné à proposer davantage sur ce plan là.

En bref : Un épisode qui a ses défauts mais qui ne laisse quasiment aucun répit. Du pur divertissement.
Note : 6.5/10

Le principal défaut de "NCIS Los Angeles", c'est qu'elle se contente souvent d'être un cop show efficace mais sans grande ambition. "Retombées" en est un nouvel exemple flagrant. Cette semaine, l'équipe de Callen & Hannah intervient après qu'un cambriolage au centre de détection nucléaire (ou quelque chose du style) menace la sécurité du comté de LA. Sur le papier, et en façade, l'intrigue semble parfaitement calibrée pour un épisode bourré de suspense et d'intensité.

Toutefois, ces données sont finalement partiellement absentes de l'équation, car le scénario n'est pas suffisamment creusé et inventif pour permettre à l'épisode de grandir. Malgré tout, il faut avouer que l'essentiel du développement est maîtrisé sur le plan du rythme, tant les scènes s'enchaînent à une vitesse phénoménale sans trop que l'on ait le temps de souffler. L'action est donc encore le maître mot de l'épisode, et c'est une qualité dont "NCIS LA" continue à bénéficier.

Du côté des personnages, pas grand chose à se mettre sous la dent malheureusement, si ce n'est l'implication - restreinte, à l'image en tout cas - d'Hetty dans l'affaire, ayant déjà été confrontée par le passé au suspect recherché. A chaque fois ou presque qu'Hetty a été mise en avant, la série en a fait quelque chose d'intéressant, je regrette donc que cet opus ne l'est pas davantage propulsée sur le devant de la scène, cela aurait sans doute été plus percutant.

En bref : Action et légèreté sont à nouveau les caractéristiques de cet épisode, à l'image de cette saison 5 pour le moment... qui a toutefois du mal à sortir des sentiers battus.
Note : 5/10

Présentée à ses débuts comme le spin-off de "NCIS" surfant davantage sur les opérations sous couverture, "NCIS Los Angeles" s'est rapidement détournée de cet objectif initial pour se rapprocher de sa grande soeur. Fort heureusement, elle revient de temps en temps à ses premières amours, et dans ce cas, je dois dire que c'est plutôt plaisant. Cette fois, dans le but d'enquêter sur le meurtre d'un marine revenu d'Afghanistan et rentré depuis en centre de désintoxication, Hetty décide d'envoyer Kensi & Deeks s'infiltrer dans l'établissement, une bonne façon de créer une atmosphère bien fun et quelques passages hilarants.

Toute la première partie de l'épisode se concentre donc sur cette opération, présentant notamment Deeks comme un sex-addict à son entrée dans l'établissement. Un détail humoristique qui fait le pont avec la toute fin de l'épisode, et le passage à la vitesse supérieure entre Kensi & Deeks, alors que ce dernier décide d'avouer ses sentiments à sa coéquipière. Les dernières secondes laissent supposer une possible mise en couple des 2 héros, et après tout, peut-être serait-ce une bonne idée pour relancer la dynamique.

Là où "Un esprit sain..." pêche davantage, c'est dans l'écriture de son intrigue policière, qui n'a franchement rien de passionnant, et manque cruellement d'envergure. Le problème, c'est que nous avons l'impression de voir toutes les semaines la même affaire, et cela commence à devenir terriblement lassant. L'histoire reste donc beaucoup trop superficielle, et n'apporte aucune touche dramatique de quelque sorte que ce soit. Dommage de se contenter de si peu.

En bref : Kensi et Deeks sont les principaux atouts de cet épisode qui pourrait marquer un petit tournant dans leur relation.
Note : 6/10

Ca y est, "NCIS Los Angeles" s'est donc bel et bien décidé à franchir le cap de la relation entre coéquipiers. Dans cet épisode, Kensi & Deeks se sont mis en couple, et forcément, cela va provoquer quelques interférences au sein de l'équipe et dans l'enquête de la semaine. Si je regrette amèrement de ne pas avoir eu droit à une petite scène amoureuse entre les deux personnages, forcé d'avouer que l'évolution de leur relation est fortement bien gérée et, surtout, qu'elle sert pour l'heure positivement la série.

Au-delà du comique de situation utilisé à diverses reprises, en particulier lors de l'ouverture de l'épisode, c'est surtout sur le terrain des émotions et des sentiments que "Le lac gelé" à décider de s'aventurer, et c'est relativement réussi. La scène où Kensi et Deeks jouent le rôle de deux inconnus cherchant à se séduire est notamment tout à fait mignonne et dans l'esprit de ce à quoi je m'attendais vis-à-vis de cette relation. L'inquiétude qu'ont l'un et l'autre par rapport à leur mise en danger est là encore source de moments touchants.

Toutefois, tout cela s'interrompt brusquement lorsque Kensi se voit réaffectée par Hetty et Granger, pour une mission dont on ignore encore les tenants et aboutissants. Naturellement, outre la séparation un peu soudaine des 2 personnages, c'est surtout vis-à-vis des secrets d'Hetty que la curiosité du téléspectateur se dirige. Quant à l'affaire de la semaine, qui prend une place assez secondaire, elle n'est pas des plus inspirées mais le rythme extrêmement soutenu permet de passer un bon moment.

En bref : Un épisode très sympathique de "NCIS LA".
Note : 7/10

Cela m'arrive assez rarement, mais à vrai dire, je ne sais pas trop quoi dire sur cet épisode de "NCIS Los Angeles". Disons que "Le rideau de fer" est tout à fait le genre d'opus absolument banal, qui est oublié aussitôt son visionnage achevé. Autant dire que ce n'est pas spécialement bon signe. La première information importante, c'est la délocalisation de Kensi en Afghanistan afin d'éliminer le "fantôme blanc". L'idée de s'aventurer dans ce style d'intrigue parallèle me plaît, mais le tout est traité de façon trop superficielle.

Au final, un seul élément m'a réellement plu : les toutes dernières secondes, au moment où Kensi regarde avec émotion la photo de son nouveau compagnon. Après le très bon épisode précédent faisant la part belle à leur relation, cette continuité est la bienvenue. Du côté de Los Angeles, il ne se passe malheureusement pas grand chose sous le soleil de la Californie. L'épisode vaut, en fait, surtout pour ses scènes d'actions et ses gags en tout genre, tel Hetty déambulant avec une tablette accrochée sur une perche roulante dans toute l'agence.

En revanche, l'enquête de l'équipe n'a strictement aucun intérêt. Je regrette clairement que la série ne cherche pas à travailler davantage ses scénarios, et ne prenne pas plus de risques que cela. J'ai l'impression de voir constamment le même épisode, avec la même enquête et la même méthode de résolution, et au bout d'un moment, cela commence évidemment à devenir plus que barbant. Lorsque l'histoire est bien ficelée, cela passe encore, mais avec une affaire sans saveur et sans aucun suspense comme celle-ci, c'est beaucoup moins satisfaisant.

En bref : Plutôt médiocre.
Note : 4/10

Peut-être l'esprit de Noël m'a-t-il retourné le cerveau et rendu guimauve, mais je suis obligé d'avouer que j'ai trouvé cet épisode de "NCIS Los Angeles" particulièrement bon, et même meilleur que tout ce que cette saison 5 nous a proposé jusqu'ici. Il faut dire que la série a opté pour un développement bien plus intense qu'habituellement sur ses différents personnages, et que cela est appréciable tant ils sont régulièrement creux et trop formatés. "Sous protection" s'intéresse tout d'abord à Kensi et Deeks, qui parviennent grâce à Hetty à prendre contact.

L'histoire de la mission de Kensi en Afghanistan n'est pas franchement passionnante (au-delà de l'objectif principal, je dois avouer que la seule présence de Granger m'horripile), mais cet éloignement est malgré tout bienvenu car il donne à la relation entre les 2 collègues une importance un peu plus forte et des émotions qui n'auraient sans doute pas été permises par le schéma classique de la série. Par ailleurs, tout ceci permet de donner une dynamique nouvelle à Los Angeles, avec un duo tout frais entre Deeks et Nell.

Sans innover vraiment, "NCIS LA" s'emploie donc à sortir légèrement de son droit chemin, et c'est une bonne chose. L'intrigue policière de la semaine va là aussi dans ce sens, puisque Callen & Hannah passent la majeure partie de l'enquête à gambader dans la ville pour protéger la fille d'un sénateur. Cette dernière est d'un ennui absolu, et l'actrice mauvaise comme tout dans son rôle de femme apeurée, mais la construction générale suffit à mélanger humour, action, suspense et même un brin de nouveauté. "NCIS Los Angeles" n'a jamais été une excellente série, évidemment, mais voilà exactement le genre d'épisode que j'attends de sa part.

En bref : Rien n'est parfait, mais rien n'est laissé de côté dans cet épisode plus qu'efficace. Joli cadeau de Noël pour les fans.
Note : 8/10

Après le très solide épisode précédent, "NCIS Los Angeles" revient ici à quelque chose de bien plus conventionnel, et forcément, de bien moins réussi. Il faut dire que l'un des gros défauts de "Serment d'allégeance", c'est de vouloir à tout prix réunir l'équipe habituelle de la série sur une même enquête. De cette façon, Kensi et Granger sont forcés de collaborer avec les agents restés à LA lorsqu'une vaste affaire de blanchiment d'argent s'engage sur le terrain du terrorisme. Le principal problème, c'est qu'on sent l'histoire montée de toute pièce pour justifier l'enquête commune, et du coup, le scénario apparaît assez bâclé.

L'autre faiblesse de l'épisode, c'est son principal guest. Aussi inintéressant que la fille du sénateur dont on a fait la connaissance auparavant, celui-ci est également d'un intérêt limité et ne sert absolument pas le récit tant le développement de la résolution de l'affaire reste classique, et manque par moments de rythme, un phénomène rare dans "NCIS Los Angeles". La scène finale où l'homme devient citoyen américain n'est pas réellement prenante - à l'image d'un épisode qui manque cruellement d'émotions, et si quelques scènes sont plaisantes et bien construites, la vitesse de croisière générale est plus restreinte qu'à l'accoutumée.

Tout n'est évidemment pas raté dans "Serment d'allégeance", mais j'aurais très franchement souhaité que la série aille plus loin, comme l'opus précédent a montré la voie. Du côté des personnages, le résultat n'est pas non plus spécialement à la hauteur. Le personnage de Granger est toujours d'une inutilité navrante, le petit focus sur Nell s'est vite interrompu, et la relation à distance entre Kensi et Deeks n'évolue qu'au détour de selfies. Pas grand chose à se metre sous la dent donc, et c'est bien dommage.

En bref : La routine ne convient décidément plus à "NCIS LA". Un épisode trop faiblard.
Note : 4.5/10

La série se serait-elle décidée à devenir romantique ? Très formatée depuis 5 ans, « NCIS Los Angeles » se rend progressivement compte qu’elle ne peut pas évoluer sans passer par un développement indispensable de ses personnages, là où sa grande sœur est parvenue à mêler très rapidement les deux éléments. Après nous avoir fait découvrir la petite famille de Sam (il y a un petit moment déjà maintenant), et franchi le pas entre Kensi et Deeks, cet épisode s’intéresse un peu plus à la vie amoureuse de Callen, puisque Sam et Hetty lui organisent un petit rencard dans son dos. Cela donne lieu à une dernière scène un peu guimauve mais relativement sympathique.

Pendant ce temps, Kensi est toujours coincée en Afghanistan et doit découvrir qui est la taupe recherchée par Granger. Elle fait alors appel à Nell et Eric, qui vont offrir quelques passages succulents comme ils se faisaient rares depuis pas mal de temps, et notamment avec leur directeur adjoint. Autant le personnage de Granger m’insupporte au plus haut point – et l’acteur avec, autant je dois reconnaître que j’ai trouvé sa présence plutôt bien exploitée dans cet épisode. Sur le territoire afghan, peu de véritables évolutions cependant, la série donnant l’impression d’avoir tourné 3 scènes qui sont diffusées en boucle. Franchement, emmener un membre de l’équipe à quelques milliers de kilomètres pour le faire parler de thermostat, c’est se foutre du monde non ?

Heureusement, l’enquête de la semaine centrée sur le double homicide d’hommes ayant un lien avec l’armée américaine est là pour rehausser le niveau général du scénario, car sans être d’une inventivité folle (bien au contraire), elle réussit à être suffisamment rythmée et travaillée pour ne pas ennuyer le téléspectateur, entre quelques bonnes scènes d’action, des twists maîtrisés et même une petite mise en danger de Nell, ceinturée par Dylan Bruno, bien connu des fans de séries policières pour son rôle du lieutenant Granger (tiens donc) dans « Numb3rs ».

En bref : Tout en étant assez superficiel sur certains aspects, voilà un sympathique épisode de « NCIS Los Angeles ».
Note : 6.5/10

Je dois avouer que cet épisode de « NCIS Los Angeles » m’a laissé assez circonspect. Afin de poursuivre la mise en avant de ses différents personnages et de revenir une fois encore aux fondamentaux des enquêtes proposant quelques passages sous couverture (ce qui semble être le maître-mot de cette saison 5), la série a décidé de traiter le cas d’une vieille connaissance de Hetty, Sam et Callen, alors que ceux-ci  se penchent sur le meurtre d’un diplomate guinéen exécuté de façon impressionnante par un chasseur de têtes, et se retrouvent alors à voyager jusqu’à Mexico pour résoudre l’affaire.

Sans conteste, « Tuhon » est l’un des opus les plus explosifs et rythmés de la saison, avec une multitude de scènes d’action particulièrement bien filmées et d’une efficacité redoutable. Malheureusement, cela se fait aussi au détriment du scénario de l’épisode, bâclé et irréaliste sur un certain nombre d’aspects, et parfois difficile à suivre sans concentration maximale. « NCIS Los Angeles » parvient donc à concocter quelque chose de très fun, mais pas forcément de très inspiré et de véritablement marquant.

Côté personnages, « Tuhon » permet le retour de Nate, qui poursuit ses petites apparitions irrégulières dans la série, mais qui n’a honnêtement plus grand-chose à raconter. Peut-être serait-il temps de le laisser partir définitivement, non ? Sans être follement intéressante, la petite histoire romantique de Callen apporte davantage de répliques sympathiques et de légèreté à l’épisode, tout comme la mission de Kensi en Afghanistan, qui prend enfin de l’ampleur avec la confrontation tant souhaitée entre elle et celui qu’elle considère comme le « Fantôme blanc ». Les émotions ne sont pas au rendez-vous (elles sont de toute façon totalement absentes dans l’épisode), mais il se passe quelque chose, ce qui n’était pas franchement le cas ces derniers temps.

En bref : « NCIS Los Angeles » est partie dans un petit délire qu’elle n’est pas parvenue à maîtriser complètement. L’épisode n’en reste pas moins divertissant.
Note : 5/10

Kensi étant toujours bloquée en Afghanistan aux côtés de Granger, afin d’attraper et de neutraliser le fameux « Fantôme blanc », la série a souhaité ne pas trop perturber son petit train-train hebdomadaire plus longtemps, et a pour cela décidé de recruter pour cet épisode… une Kensi low-cost. Evidemment, il s’agit de la pire idée qui soit, puisque la présence de Mercedes Masohn sous les traits de Talia Del Campo n’apporte rien du tout, si ce n’est une forme de redite absolument grotesque qui montre que « NCIS Los Angeles » n’a tout de même pas la moindre envie d’évoluer. Le personnage est en effet plutôt frais et agréable, certes, mais le rôle de Talia aux côtés de Deeks notamment est exactement du même acabit de tout ce qui a été fait dans les premières saisons avec Kensi.

Malheureusement, l’intrigue policière de la semaine n’éclipse pas vraiment cet énorme manque d’originalité, bien au contraire. L’équipe de Callen et Hannah s’intéresse à l’explosion d’une bombe dans un marché aux poissons, qui pourrait cacher un acte de terrorisme ou un vaste trafic de drogue. Certains éléments du scénario sont relativement bien construits, et s’il faut reconnaître une chose à « NCIS LA », c’est qu’elle sait parfaitement éviter que son téléspectateur s’endorme, avec une multitude de passages d’action bien réalisés et répartis comme il faut tout au long de l’épisode. Toutefois, l’association du NCIS avec la DEA n’est pas exploitée comme il se doit, et l’ensemble de l’histoire reste d’une superficialité et d’un classicisme assez dérangeants.

Parallèlement, la mission de Kensi en Afghanistan poursuit son petit bonhomme de chemin. Alors que cette dernière reste persuadée de la culpabilité de Sabatino, Granger lui ordonne d’éliminer celui qu’il suspecte d’être l’ennemi tant recherché… mais Kensi n’obéit en rien, faisant exprès de rater la cible. Comme pour les précédents opus, « Un gros poisson » ne nous apprend pas grand-chose sur cette intrigue, se contentant d’un nombre de scènes minimal n’ayant pas grand intérêt. J’aimerais tellement que « NCIS Los Angeles » se serve du sol afghan pour proposer quelque chose d’explosif et de bien plus intéressant. Mais cela reste sans doute du domaine de l’espoir.

En bref : Quoi de mieux qu’une pâle copie d’un personnage pour mettre en évidence l’absence totale de tout processus d’évolution ?
Note : 3/10

Est-ce qu’à un moment donné, « NCIS Los Angeles » va se décider à offrir un épisode complet à la mission de Kensi en Afghanistan ? Cette méthode qui consiste à proposer 2 ou 3 scènes à chaque fois commence à sérieusement montrer ses limites tant il ne se passe vraiment pas grand-chose. C’est dommage, car le scénario est tout de même plutôt intéressant. Dans « Entre les lignes », Kensi disparaît et tandis que Granger la recherche activement, elle part à la rencontre du fameux « Fantôme blanc »… mais se fait kidnapper et se retrouve aux mains de rebelles. La suite s’annonce passionnante si la série se donne la peine de donner à cette intrigue toute la place qu’elle mérite, mais ce n’est pas encore gagné.

Pendant ce temps, en Californie, le reste de l’équipe s’est débarrassé du mauvais clone de Kensi qui a pollué l’épisode précédent et se penche sur l’assassinat d’un agent de l’ATF sous couverture auprès du gang des Yakuzas, déjà développé dans de nombreuses séries policières de CBS (« Hawaii Five-0 » ou « CSI Miami » si ma mémoire est bonne). Dans l’ensemble, l’affaire est relativement bien écrite, même si j’aurais sans doute aimé que les scénaristes aillent plus loin dans les conséquences de l’histoire. Je pense par exemple au retrait évoqué de tous les agents sous couverture, qui  aurait pu apporter davantage de tensions et renforcer ainsi la trame dramatique et policière du récit.

Concernant le développement de l’enquête, tout est bien mené, notamment sur le plan du rythme. « NCIS Los Angeles » multiplie une fois de plus les scènes d’action et les passages plus légers, qui continuent de faire d’elle un divertissement tout à fait efficace. En revanche, l’apport d’émotions reste un énorme point faible, tout comme l’utilisation des différents personnages, qui retrouvent encore une place très secondaire là où certains opus précédents avaient pu s’intéresser davantage à eux (et à la vie amoureuse de Callen, notamment). Il faudrait vraiment que « NCIS LA » s’attèle à être moins fade de ce point de vue.

En bref : Une nouvelle fois, la série ne va pas assez loin dans ce qu’elle entreprend… ce qui n’empêche pas cet épisode d’être plutôt honorable.
Note : 5.5/10

Bonjour,

Je suis nouvelle sur le forum, aussi excusez moi si mon message n'est pas à la bonne place... Apparemment, M6 interrompt la diffusion de NCIS Los Angeles à compter du 13 décembre, alors qu'il restera 4 inédits ! Quelqu'un a t-il des informations à ce sujet ? Merci d'avance pour vos réponses éventuelles... 

Ils coupent peut être la diffusion pendant les fêtes. En général durant cette période il y'a des programmes spéciaux le samedi.

Après je suis pas vraiment la diffusion français donc j'en sais pas plus ^^

Tout d'abord, Harty, bienvenue sur le forum !!! J'espère que tout te plait!!! N'hésite pas si tu as la moindre question ou envie de nous aider à compléter le quartier !!! 

En ce qui concerne la diffusion de la S5, je viens de regarder et effectivement, M6 arrête la diffusion pour commencer la S2 de Perception.... C'est à n'y rien comprendre.... je vais leur envoyer un mail pour avoir plus de renseignements....

Merci beaucoup pour l'accueil, c'est vraiment gentil... :) Pour compléter le quartier, je n'ai pas beaucoup de disponibilités, mais je garde l'idée, et pour les questions, je n'hésiterai pas ! J'ai vu pour "Perception", je te remercie de te renseigner... 

de toutes façon , chez eux , c'est foutage de gueule et compagnie concernant les difusions ....... !!!

y a deux jeudi, ils attaquent la nouvelle saison de Bones ............ pour la couper au bout de deux épisodes !!!!

"Blue Blood" , disparue corps et bien en cours de saison ....

j'arrête la car la liste pourrait être longue .....

et après, ça va être les premiers a "pleurer" parce que les gens téléchargent illégallement leurs séries !!!

sans vouloir cautionner cette pratique, quand on vois que la suite d'une série , qui nous plait et qui viens d'être interrompue sans ménagement , est "disponible" quelque part sur le web, la tentation peut être grande !!

je pense plus à une sorte de stratégie... ils ont souvent fais ça...je pense qu'ils attendent d'avoir une partie de la saison 6 pour pouvoir diffuser la fin de la 5 et continuer sur la 6..c'est devenus l'une de leur marque de fabrique...couper les saisons... ou tout simplement, ils savent que pendant les fêtes les gens regarde des programmes plus "divertisant" et pour ne pas perdre de l'audiance(et surtout des part de marché) sur cette série ils la "présèrve" et reprendrons la diffusion courant janvier...

perso les diffusion d'M6 ne me choque même plus...pfffffffff

Bienvenue sur le quartier Harty ! Ton message est exactement à la bonne place ! Si tu as d'autres questions, n'hésite pas !

Pour l'arrêt de la diffusion, je viens aussi de le remarquer. 

MAIS LA CA COMMENCE A BIEN FAIRE !!! MODO EN MODE "JE SUIS EN COLERE" !!!

J'appuie sur ce qu'a dit gamelle : c'est vraiment du foutage de *bip*, on va avoir droit à une saison en 3 parties !!!

Et après ils vont se plaindre que l'audience baisse !! Tu ne peux même plus suivre une série correctement sur cette chaîne !

Merci Paupo pour te renseigner. Je voudrais bien savoir quelles excuses il vont nous sortir !!

Après Nef tu peux avoir raison, c'est une possibilité. Mais bon j'espère qu'ils ne vont pas trop trainer à diffuser la suite...

Tout d'abord bienvenue sur le quartier Harty.

Paupo merci de partir a la peche aux infos.

En effet M6 cette année bat le record , ils nous diffusent la sison en 3 fois . C'est trop fort.

Tout ca pour des questions d'audiences on a eu la premiere partie de la saison. la suite est enfin arrivée. et la ils vont  nous la coupée  pour quoi? Noel? et nous mettre quoi ? perception ou des films de noel? c'est le monde a l'envers non ?

vivement la reponse de M6 pour savoir leur excuse. 

Merci beaucoup de votre accueil également, et tant qu'à faire, bravo pour votre implication, j'aime beaucoup ce site et toutes les rubriques (même s'il m'en reste à découvrir !!!)

Concernant les "découpages" de diffusion, c'est vrai qu'M6 est spécialiste en la matière et c'est particulièrement pénible pour ne pas dire autre chose ! 

Neferete, j'ai également pensé au fait qu'ils souhaitaient diffuser la fin de la saison 5 en enchaînant avec le début de la saison 6 avant bien sûr d'interrompre à nouveau la diffusion... Cela dit, j'aimerais quand même savoir quand... Mais l'hypothèse d'une coupure pendant les fêtes est à envisager aussi, sauf qu'ils arrêtent samedi soir quand même, soit près d'un mois avant Noël !

Quoi qu'il en soit, merci à toutes de vos réponses, c'est très sympa et très agréable de pouvoir échanger... 

Noël arrive à grand pas! c'est dans trois semaine!!!! pas dans un mois! donc la diffussion du 13 decembre corespondra avec les premiere diffusions special fête...et oui ça passe vite!!! lol! 

je crois que je ne t'ai même pas dis BIENVENUS!!!! la honte ;) :p